Le culte
La Lucha Libre développe une mythologie qui lui est propre. Chaque match symbolise l’affrontement du Bien contre le Mal. C’est pourquoi les Luchadore se divisent en deux familles : les Tecnicos et les Rudos. Les premiers respectent les règles et suivent une éthique dominée par la vertu et le courage. Les seconds sont toujours prêts à fomenter de mauvais coups et ne respectent aucunes règles. Ces affrontements quasi bibliques ont une incidence sur la vie spirituelle des Mexicains. Ex Votos, Nichos et autres reliques sacrées sont confectionnées par le peuple pour concrétiser leur dévotion religieuse. Les Luchadores y tiennent le rôle d’êtres au statut quasi-divin. Tous ces objets improbables et plus encore sont exposés dans les pages de Los Tigres del Ring.

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MEXIQUE La Lucha Libre

Publié le 09/07/2009 à 22:00 par catchwwewwfwcwecw

Le look

Le costume, mais surtout le masque du Luchador, revêtent un rôle essentiel dans la Lucha Libre. Ces derniers appartiennent à une tradition mexicaine qui remonte aux Aztèques et aux castes de chevaliers guerriers. Ce sont des symboles qui fédèrent le public autour de valeurs. En devenant Luchador, le catcheur choisit un mode de vie sans concession, où il efface son propre nom et son identité. En portant un masque, il transcende sa condition de simple mortel pour devenir une divinité du ring… même si parfois, son costume plagie Spider-Man ou les Power Rangers !

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MEXIQUE La Lucha Libre

Publié le 09/07/2009 à 21:59 par catchwwewwfwcwecw

Les spécificités de la Lucha Libre :

- Le combat

Le style de combat est beaucoup plus acrobatique, aérien et spectaculaire que celui du catch américain ou européen. Il se révèle également beaucoup plus violent. Le sang et la mort font partie intégrante de son histoire. Los Tigres del Ring présente photos et documents d’époque pour comprendre comment s’appréhendent ces combats.

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MEXIQUE La Lucha Libre

Publié le 08/07/2009 à 13:19 par catchwwewwfwcwecw

Plus spectaculaire que le catch américain, le catch mexicain promet de grands moments à partir du 15 avril à 22h40.

Surfant sur le succès du catch américain à la télé, Jimmy introduit en France une de ses variantes, le catch mexicain sous la forme de 26 épisodes de 52 minutes.

Spectaculaire, aérien, technique, divertissant et très populaire, le catch mexicain (ou Lucha Libre) est la version la plus pure de la discipline, élevé au rang d’art et même de religion au Mexique.

La CMLL (Consejo Munidal de Lucha Libre) considérée comme la fédération traditionnelle, est la plus ancienne promotion contemporaine de l’histoire du catch.

A l’inverse du catch américain, plus axé sur la dramaturgie, le catch mexicain met en valeur les talents d’acrobates de ses vedettes.

Résultat : des figures aériennes impressionnantes, des sauts vertigineux, et une maîtrise parfaite de l’espace, au sol et dans les airs !

S’ajoutent à cela les traditions mexicaines avec des stars aux noms et aux masques évocateurs ou aux cheveux longs, qui sont même parfois l’enjeu d’un match.

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Espagne

Publié le 27/06/2009 à 20:01 par catchwwewwfwcwecw

Espagne, pays où le catch connut un certain essor notamment dès les années 1920 dans les villes comme Barcelone et Madrid avant de se populariser et de ses généraliser un peu partout dans le pays. Si de nombreux lutteurs espagnols de renom ont foulés les rings de France, Paco Ramirez, Jim Oliver, Anton Tejero, José Tarres, Modesto Aledo, José Arroyo, Jésus de Hérédia, Antonio Morlans, Antonio Montoro... Un grand nombre de grands catcheurs français ont luttés parmi lesquels Henri Cogan, Paul Letertrois, Felix Clody, , Marcel Manuel, Andre Drapp Gilbert LeDuc, Jean Bout, Rene Ben Chemoul, Claude Montourcy, Le Petit Prince, Pierre Boss, Michael Chaisne, Jules Delmee, Roger Guettier,Jacques Ducrez célébrement connu sous sa cagoule de Bourreau de Béthune, Roberts Gastel et Robert Duranton...

Ils avaient assez souvent pour cadre de leurs exploits, les célèbres arènes espagnols où après la furia des taureaux, d'autres gladiateurs des arènes se produisaient comme ce fut le cas en ce Vendredi 14 août 1971 dans les arènes de Valence. Valence était une place importante du Catch espagnol où les combats étaient organisés par le Matchmaker Esparza. De même, les écoles de catch étaient peu nombreuses et l'on pouvait en rencontrer plusieurs a Valence. En ce jour, où tout du moins en cette soirée car le gala était programmé à 23heures, La France du catch était présente avec Le Petit Prince Albéric d'Ericourt et le très athlétique Michel Chaisne qui étaient respectivement opposé à Chato Pastor et Juan Botana.

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Pehlivan

Publié le 27/06/2009 à 18:12 par catchwwewwfwcwecw

En Turquie, ils sont adulés… On les appelle les pehlivan. Ce sont les adeptes de la lutte turque qui, selon des codes bien précis, offre quelques différences notables de style avec la lutte gréco-romaine. Avant de livrer combat, ces athlètes aux mensurations impressionnantes s’enduisent le corps de graisse. Ils sont vêtus de braies en cuir, également enduites de graisse, pour rendre les prises difficiles.

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